Trois créateurs et une même idée, je dirais plutôt une envie commune de bousculer certains codes. Passionnés par le cinéma des années 50, par une nouvelle génération complètement décalée, des réalisateurs et acteurs qui ont marqué l’histoire du cinéma français.
Mais pourquoi parle-t-on de cinéma ? Quel est le rapport entre la mode et le cinéma ? Il y’a comme une odeur de projection, non pas dans une salle de cinéma, mais une projection psychologique venue tout droit de leur inconscient. Et oui, cette boite de pandore, qui enferme nos désirs et nos envies, notre folie tout simplement.
Il ne faut pas sortir d’une fac de psycho pour comprendre, que ces créateurs sont rebelles, en s’identifiant à cette « nouvelle vague », c’est tout leur « moi » qui s’exprime, et au final, c’est leur créativité qui transpire au travers d’une collection très sympa qui s’intitule « Nouvelle vague ». On retrouve l’esprit simple de l’époque, dans des basics comme le t-shirt, sweet et bonnet, à des prix très abordables. Je dois avouer avoir un petit faible pour le bonnet gris, mais hélas il est en rupture de stock !
Une marque au nom évocateur d’un passé chargé en émotions : « Souvenir perdu ». Ces trois trublions de la fringue : Adrien Burnet, Théo Paraponaris et Benjamin Bernardi sont dans les starting block, prêts à nous surprendre avec une prochaine collection en 2014.
Je vous laisse découvrir ci-dessous leurs visions au travers de ce préambule fort sympathique.
“Pourquoi la Nouvelle Vague?
Nous voulions mettre en avant notre goût pour le cinéma et notre passion pour ce mouvement cinématographique qu’était «La Nouvelle Vague» dans les années 1950. Ce dernier regroupait des réalisateurs comme Truffaut, Godard ou encore Chabrol. Avec des acteurs comme Jean-Paul Belmondo, Jean Seberg, Jeanne Moreau, et des films tels que «A bout de souffle» ou «Une femme est une femme».
Il évoque, pour nous, la jeunesse et l’avant-gardisme qu’avaient les réalisateurs de l’époque. Ils avaient une approche totalement différente sur la production, le tournage et la fabrication des films qui s’opposaient aux traditions. C’est ce qu’on voulait retransmettre avec cette collection, tout en gardant une cohérence avec la précédente.
«La Nouvelle Vague» colle tout à fait avec l’image de trois jeunes passionnés et inspirés que l’on veut donner, mais aussi avec l’identité graphique de Souvenir Perdu. Il évoque également, comme SP, une nostalgie, une fougue et une envie de vouloir laisser une empreinte. Et c’est exactement ce que l’on veut faire ressentir aux gens à travers cette collection.”
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